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samedi 22 octobre 2016

L'herbier proposition 53 et suite 52


Voici un texte qui s'est perdu dans le flux,  je ne l'ai pas reçu comme je l'aurais dû. Le commentaire semble être encore la meilleure solution, à moins que je ne trouve une solution pour vous communiquer mon e-mail.
Le voici avec un peu de retard, désolée, Jamadrou :

Ce lundi matin, il avait oublié de te dire combien il t'aimait.
Alors il a dessiné sur le grand miroir un coeur rouge.
Le lacet de son soulier était cassé
Doucement il s'est baissé
La terre s'est mise à trembler
Le miroir s'est brisé et tout d'un coup dans le silence du matin
Le plafond s'est effondré
Sa tête fut dévastée
Il a entendu ta voix qui l'appelait
Il a touché son coeur où étaient entrés les éclats de miroir de ton beau rire étoilé.


jamadrou le 16 octobre





L'image pour la page 53



 
Un tableau d'Arnaud Bouchet que j'avais dans mes tiroirs.
Merci à sa maman, Marine D





vendredi 21 octobre 2016

L'herbier, page 52


 




Une fois n’est pas coutume, je vais commencer par mon texte. Quelle impolitesse me direz-vous.
C’est vrai, mais je le devais à l’héroïne de l’image, car ceci est une histoire vraie, le souvenir chaleureux d’une belle rencontre.

Alors vous me pardonnerez ?



Merci de vos participations si variées.






La petite rose rouge

Tache de sang
sur le rire des herbes
que la lumière éclabousse.


Elle rêvait d’un métier où glisseraient entre les fils de trame les mains expertes d’un lissier.

Fille d’une bouture oubliée, elle était éclose dans le massif où dominaient des rosiers de haute lisse. Elle s’épanouissait timidement, avec des allures de bouton avorté. Mais elle était tellement attirée par la lumière qu’elle avait décidé de devenir fleur. Passé sa première nuit, surprise : elle incarnait la perfection en miniature.
Des pétales jaunes, blanchis par le temps, étaient venus s’échouer à ses pieds, offrant à sa beauté un tapis de lumière.
Je m’étais arrêtée, je m’étais accroupie et, dans le silence de nos âmes, je l’avais accueillie. Puis, sachant la durée éphémère de sa vie, je l’avais « immortalisée », tout au moins le temps de ma propre durée, car il n’est aucune photo pouvant immortaliser sa prise.
Bien après qu’elle eut disparu, en regardant son image parmi la moisson de l’été, j’ai senti vibrer en moi l’écho de sa courte vie. Elle me parlait encore, elle vivait là, quelque part en moi. Alors, répondant à son appel, je me suis emparée de ses formes, de ses couleurs, j’ai tenté, avec mes modestes moyens, mais avec toute la force de mon âme, de satisfaire son attente : elle rêvait d’un métier où glisseraient, entre les fils de trame, les mains expertes d’un lissier.
J’en ai fait une image à la façon des cartonniers* et son rêve est devenu mon rêve.
Qui sait, un jour, un lissier* la regardant lui offrira un ultime hommage, une place entre les fils de trame de son métier où glisseront ses mains expertes.


*termes utilisés à Aubusson, capitale mondiale de la tapisserie où j’ai appris à dessiner.







Coup de tonnerre
Coup de sang
Coup de foudre
Coup de cœur
Un éclat de vie !









 Le personnage-machine et la rose de papier

Aléatoires roses de papier
Sur papier gaufré !

Cœur de sang,
Parmi les éclairs de façades aux blancs nuancés.
Ombres végétales floutées, illusoires ou signées,


Saisies en perspectives transparentes ou en modules compressés.

La géométrie de l’apparence est construite,
Elle imite et suggère,
Comme l’original des contes
Qui se lit dans les ogres de jardins.
Origami ! Montage composite : 

Personnage-machine d’un grand pas enlevé. 








La roumaine...

Rouge à lèvres
Appuyé
Ne voir que lui
Sur ce visage,
Œillade
Aux oiseaux de nuit,
Elle racole, muette
Sur la voie,
Plus une oie blanche
La femme
Du trottoir
Chignon en bataille
Elle te fait l'amour
Pour dix balles...

Rouge à lèvres
Appuyé,
Rose de Noël
Qu'on la nomme
La belle plante
Vendeuse de ses soleils
À minuit...










Une rose troublée
Incluse dans le magma
Dans les ruines, dans les pierres
Saccagée
Sa robe écarlate
Tâchée, repeinte
À l'unisson de ces êtres déchirés
Bombes meurtrières
Secousses et tremblements
La terre a dit non
Plus forte que les hommes
Reciselée
Diamants tranchants
Pas de pause
Dans l'horreur
Pas de quartier
Pas de paix









La Barbarie avait encore frappé aujourd'hui. Il fallait à tout prix qu'elle l'extirpe du tréfonds d'elle-même.
Elle saisit ses ciseaux, papiers, colle. Les formes sont aiguës. Sur ses lèvres affleurent les sons en un seul souffle d'Onitsura
"Mon âme plonge dans l'eau
Et ressort
Avec le cormoran"
Les formes aiguës s'ordonnent jusqu'à l'esquisse du grand oiseau .....
"L'homme est un rat pour l'homme"
disait ce matin l'artisan de l'abolition de la peine de mort
"Le rat, seul prédateur qui tue pour le plaisir de tuer."
"Mon âme plonge dans l'eau
Et ressort
Avec le cormoran"

Tu es responsable à jamais de ce que tu as apprivoisé. Et coupe et colle et taillent les ciseaux. Les formes se superposent.
Point final : la tâche rouge sang.





Nota - mon illustration sonore peut être "Le dormeur du val", poème de Rimbaud, chanté par Sapho

ou bien "Comme un p'tit coqu'licot" par Mouloudji
                 Onitsura : poète Japonnais



 



Et la danseuse danse danse
et son cœur chante chante
L'été autour du feu de joie
A l'automne dans sa roulotte
Son cœur est toujours gros comme ça.
Dans l'hiver elle fera le gros dos
En attendant le retour du printemps.








Un texte qui s'est perdu dans le flux et que je n'avais pas reçu comme je l'aurais dû, le commentaire semble être encore la meilleure solution, à moins que je ne trouve une solution pour vous communiquer mon e-mail, le voici avec un peu de retard, désolée, Jamadrou :

Ce lundi matin, il avait oublié de te dire combien il t'aimait.
Alors il a dessiné sur le grand miroir un coeur rouge.
Le lacet de son soulier était cassé
Doucement il s'est baissé
La terre s'est mise à trembler
Le miroir s'est brisé et tout d'un coup dans le silence du matin
Le plafond s'est effondré
Sa tête fut dévastée
Il a entendu ta voix qui l'appelait
Il a touché son coeur où étaient entrés les éclats de miroir de ton beau rire étoilé.


jamadrou le 16 octobre







samedi 15 octobre 2016

Proposition 52 pour vendredi prochain

Cette image n'était pas prévue pour l'herbier, mais comme Jill en a décidé autrement,  je vous la propose pour vendredi prochain.




recherche picturale d'après photo - Adamante



Petit rappel
Si vous pouvez m'adresser vos textes pour jeudi ce serait parfait. Sans oublier de noter l'adresse de votre lien.
N'hésitez pas à me l'adresser sur ma boite gmail qui apparaît quand je vous laisse un commentaire.
Merci et bon week end.


vendredi 14 octobre 2016

La rose





 



 

L'herbier page 51

La vie, l'amour, la vie. Surtout la vie face à l'ombre et ses menaces. C'est selon...

Une photo de Susi S



Puisque l’horizon se bouche d’une noire prophétie, je m’arrête en chemin. Je regarde les volutes d’un feu qui s’éteint. Sous l’ombre des arbres, je déchiffre le langage de fumée. L’eau se trouble. Je reste calme, à l’abri d’aujourd’hui, sans penser à demain. Le miroir du ciel agite ses ondes. Les heures passent lentement. J’attends le soir, le noir, puis j’attendrais le jour, le réveil du soleil. Il reviendra avant que je ne me lasse de décrypter le langage naturel de la vie qui s’écoule…

ABC       



Selon que vous soyez...


Au-dessus du lac
Tel un troupeau
En transhumance
Passent les nuages
Au ras de l'onde
Et les arbres
Comme des filets
Se font pêcheurs
Pêcheurs de nues
Pour le poète...

Meringues
Ou îles flottantes
Pour le bête mangeur...

L'indifférent passant
Presse le pas lui,
L'orage menace
Peu lui importe
La poésie ou la cuisine des cieux...









À la tombée du soir mangé de nuages, quelques ombres tremblantes se noient dans l’étang. Des branches fantomatiques semblent surgir de ses eaux bouillonnantes et glacées qui phagocytent les dernières lueurs du jour. Des monstres sommeillent dans leur lit d’algues et de vase. Dès la nuit, ils s’éveillent et, revêtus de brume, disposent leurs filets d’angoisse et de terreurs dans la profondeur des eaux troubles. Sous la clarté lunaire, on voit les berges se couvrir de linceuls, un frisson d’épouvante court sur les herbes. Ici une autre vie, sans chaleur et sans pulsation, est à l’affût. On prend la fuite, il n’est pas l’heure, on s’empresse de retrouver lumières artificielles et bruits qui rassurent. On tire le voile, on parle haut, tellement heureux d’être encore vivant.








Cette carte postale, je l’ai reçue ce matin.
Au dos, elle avait écrit :
« Croire que la vie est un rêve est tromperie.
La vie n’est que le reflet de Ton rêve où chaque nuage se transforme en friselis et où l’arbre est ton cadre de vie.
Continue à les aimer ces arbres dans la solitude de ton île-forêt.
Moi, je pars seule, j’aime trop le mouvement de la vie. »







Premières lueurs sur l'étang
le pêcheur vient pour ce moment.
Les canes à pêche et l'épuisette
Pour le sport ou en alibi.
L'air est saturé des bruits
que l'homme des villes
n'entend plus :
chants d'oiseaux
bourdonnements d'insectes,
risée du vent.

Dernières lueurs sur l'étang.
toute une journée protégé
de l'effervescence du monde.
Les canes et l'épuisette sont rangées.
Le pêcheur fait réserve
de ces derniers instants de vie
Quand le jour fait silence
avant les murmures du soir.











Au seuil du jour
Ricochant sur le lac
Les notes du rossignol
.
Chuut
Juste le bruit de l'eau
Et ton cœur près du mien

      Martine Richard







Le Matou


Elle contemplait    l'orage menaçait     Elle se leva   frissonna   ramena son châle sur ses frêles épaules

Encor un peu dit-elle à haute voix  elle se rassit

pour contempler    encore

Il était bien caché le minet     Cherche   cherchez   et vous me trouverez

La narguait-il ?

Il est toujours là où je ne l'attends pas

le bonheur

se dit-elle

Vu ! 

l'avez- vous

vu le minou ?

en haut, tout en haut         sacré filou !

à nouveau   elle se leva 

comme je serai bien à l'abri à regarder tomber la pluie

se dit-elle

Françoise Isabelle La vieille marmotte     

 




Le coin des retardataires



Crépuscule en noir et blanc,

Noir, comme le lieu où toutes les couleurs se résorbent, blanc comme le lieu où chacune s’origine. Entre les deux, volutes de gris, comme une queue de paon en parade.

Le jour a flambé, ses dernières lueurs s’effraient.
La nuit installe sa traîne encore incertaine, comme une mariée le fait de son voile d’innocence.
De lointains nuages font, aux lueurs mourantes, comme un dard.
Le scorpion du temps instille au crépuscule son poison de ténèbres
Et lui destine des germes d’orages.
Des branchages encadrent la vue de l’observateur, l’horizon fini de terre
S’ouvre au ciel sur un infini possible.
Mais l’immédiat est un masque,
Il donne au visible une trop forte apparence.

Le lointain, lui, suggère sa forme comme une mémoire sans substance.
Dans ses incertitudes se tapit, reflet sourd, l’angoisse.
Sous l’eau règnent plus encore qu’au dehors,
Mille formes ignorées,
Corps sans corps, formes inconscientes.
Le baigneur se risquerait, à la fin,
À la rencontre qui lui fait peur :
Rencontre vitale ?
Rencontre mortelle ?
Qu’importe !

Là-bas, en face, entre réel illusoire et mémoire lointaine,
Une île dresse ses fûts, élévations rectilignes.
Comme des humains, ils empruntent à l’eau et à la terre
Et baignent leurs cimes dans des cieux où la différence ne veut plus rien dire d’autre,
Qu’être et se tenir.
Le spectateur, « invisible moi » qui s’oublie dans la vastitude des choses,
Éprouve enfin son insignifiance.
C’est en elle qu’il trouve son repos.
C’est en elle qu’il trouve quelque sagesse :
Prémisse des douceurs et des trop rares bontés.

Dans cet « à quoi bon !» qui, enfin, lui dit
Que la vie d’un homme est, si fort, sans signifiance,
Qu’il est bien absurde de haïr.
Regarder est une audace,
Où voir est une folie.
L’homme est-il fait pour vivre ?
Est-il fait pour la force si magnifique du monde ?





Au-dessus du lac
Serpente un ciel ivoire
Ses reflets dans l'eau sombre
En traînées scintillantes
Font route vers l'ailleurs
Où la nuit enveloppe
Toutes les angoisses
Toutes les peines
Où les rêves vibrent
Comme feuilles en automne


et


Le soir descend aux rives secrètes
De l'étang qui accueille les esprits
Seuls les nuages veillent encore
Sous la lueur masquée de la lune







dimanche 9 octobre 2016

Autour de ma dernière exposition

Et si j'en parlais.


Elle fut un grand moment de travail durant les vacances. Nous devions exposer à deux et trois semaines avant je me suis retrouvée seule, des impromptus familiaux ayant empêché mon co-exposant.
Mais au final, cette aventure  m'a énormément apporté. J'ai tenu les trois salles avec 43 œuvres.

La première, au rez-de-chaussée, avec la vitrine "en transparence", accompagnée d'un texte explicitant mes choix.


La vitrine "Totems" - recherche sur la transparence -



J’ai voulu situer cette exposition entre transparence et nudité.

La transparence, que l’on peut observer en vitrine, équivaut à une disparition à soi-même. Disparaître ainsi de volonté délibérée, du fait du formatage de l’éducation, ou de façon imposée, par la pression de l’entourage ou de la société amène, en masquant les formes, à cacher l’expression naturelle d’un corps trop imprégné d’arrière-pensées honteuses dans les civilisations marquées par les religions du livre. Cela conduit à l’inexistence physique et morale, au refus d’un corps porteur de la malédiction féminine.

Martyrisés par les régimes pour effacer la rondeur ou voilés, le corps et l’esprit se retrouvent emprisonnés dans deux geôles dont on peut se demander laquelle est la plus terrible.

Le périple historique de la femme est jalonné de ces oripeaux que furent le voile, le corset, la cape de relevailles… chacun, soit par refus ou mise en scène contraignante du corps, réduisant la femme à un rôle subalterne ou d’objet.

La nudité, en opposition, est l’expression libre de ces formes assumées, épanouies et sans arrière-pensée.

Expression de la perfection de la création originelle que le regard humain semble avoir bien du mal à supporter.



Au travers des trois moments de l’exposition, c’est à une sorte de retour à la source, une ode à la vie, au corps porteur de l’Esprit que je vous convie.



Adamante


Article paru dans le journal La Montagne (sept 2016)






Cette exposition est salutaire.


La femme-objet, bien personnel qui, à l’instar d’un joyau, est enfermée par son propriétaire à l’abri des parois d’un coffre ou du blindage d’un voile.

Derrière l’individu déshumanisé, cloîtré, asexué, l’art onirique d’Adamante le révèle,né nu, aux formes que nulle mode ou religion n’enferme dans des dogmes.

Femmes et hommes épanouis, parfois accompagnés de leurs chats sorciers, offrandes à la Terre-Mère, la Pacha Mama.

Femmes et hommes qui retrouvent au fond des yeux, l’étincelle qui fait d’eux des dieux.

Gérard Destal
                        Metteur en Scène


 

La petite salle "Émotions et Résistance" (une vingtaines d'œuvres acrylique  / papier 30x40  (à partir de mes récréanotes - )





Adamante devant La géante et le géant -  acryliques 80x80 (RdC)






Campagne électorale acrylique - 65x92

 Merci à tous de vos commentaires, en voici des extraits qui disent bien et que je rajoute à la page.


"Parler du corps libre de l'homme et de la femme, parler de la liberté d'être, du respect de ce visage unique de l'infini que nous sommes, quand tout le monde parle de voiles et de corps à cacher, et de soumission honteuse à la règle religieuse ou démocratique ambiante est, selon moi, un acte en soi courageux et subversif. Et en soi un acte de résistance contre tous les obscurantismes et tous les rejets régressifs qui nous tentent ou nous font peur.
Peindre, c'est affirmer un engagement, une vision du monde, c'est peu au milieu des brouhahas du monde, c'est beaucoup parce que c'est singulier et que cela a le mérite d'être.
Rappel 15 millions de jeunes filles mariées de force dans le monde, il reste tout un travail de conscientisation de l'homme (humain) à faire pour nous libérer (hommes et femmes) des chaines de la peur et nous permettre d'entrer dans le bonheur de l'innocente nudité, de l'humilité merveilleuse d'exister."    Serge de la Torre
 Un extrait

 (...) Un sujet très intéressant et qui fait réfléchir.
Curieuse coïncidence, je viens de terminer de lire un roman: " Le pavillon des pivoines" ( un opéra de Tang Xianzu, représenté pour la première fois en 1598 que l'on accusa de provoquer le mal d'amour chez les jeunes filles) où justement on parle de la liberté de la femme chinoise, de son envie d'exister par les arts, du culte des pieds bandés pour le plaisir de l'homme, du maître ( quelle horreur). La femme n'est qu'un objet que l'on prend et que l'on jette, que l'on vend.
Un livre passionnant qui s'appuie sur des références historiques. (...)  Martine
Un autre extrait
 
(...) Le regard, justement, la morale, les coutumes ancestrales, l'obscurantisme... etc ... enferment trop souvent les femmes dans des rôles assignés, voire dans l'humiliation... Les phallocrates ont trouvé une parade pour se dédouaner de leur manipulation en considérant que leurs femmes, propriétés privées, s'emprisonnent de leur plein gré dans des conformismes ou des voiles, écrans entre elles et le monde extérieur.... auto-ségrégation ?... Attitudes ou voiles marquant la chasse gardée par les Hommes ! Femmes objets dont la vie est souvent un calvaire dans tant de régions du monde, dans tant de mariages.... A-t-on honte des femmes ? En a-t-on peur ?
La Foi en cause ??? mais la Foi, quelle qu'elle soit, est une expérience intime ! Prières et méditations se font dans des lieux de culte ou privés ... "au plus secret de sa chambre"... car chacun sait que "l'habit ne fait franchement pas le moine"... L'ostentation est très souvent marque d'orgueil ...

Les femmes sont elles obligées de vivre une "vie dissimulée" ? Le patriarcat est bcp plus présent qu'on ne le croit !!! (...)    Luciole83
 


samedi 8 octobre 2016

Herbier proposition 51


Textes à m'adresser pour jeudi dernier délai,
soit par le formulaire contact, soit en commentaire.

Je ne mets en ligne les commentaires comportant les textes que le vendredi au moment de la parution.






Une photo de Susi S pour vendredi prochain. 
J'espère qu'elle vous plaira autant qu'elle m'a plu. 

 et...
Un grand merci pour vos dernières participations.
D'autres textes sont arrivés, vous les retrouverez en bas de page
ICI

 

Adamante