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jeudi 28 février 2019

Chemins vivants

  
«  Tout chemin n'est seulement qu'un chemin, et il n’y a pas d’offense, envers soi-même ou les autres, à le quitter, si le cœur t’en dit…
Regarde chaque chemin séparément, et délibérément.
Essaie-les, autant de fois qu’il te paraît nécessaire.
Puis, demande-toi, et à toi seul : ce chemin a-t-il un cœur ?
S’il en a, le chemin est bon ; s’il n’en a pas, il n’est d’aucune utilité. »

Ainsi parlait Don Juan Matus (chaman indien yaqui) à Carlos Castaneda dans «  L’herbe du diable et la petite fumée ».


Notre ami Serge a suivi les conseils du vieux sorcier et pris les chemins de la vie (... …/…)

Aux carrefours de l'existence, il s’est laissé toucher d' images et de sonorités.
De  certaines sont nées des poèmes, et d'autres des histoires.
(…/…)

Ce qu’il a qualifié de  : "envie d'écrire".




Alors aujourd’hui, je vous invite à suivre le lien qui croise ces chemins.

« Ce n’est pas la première fois que l’un de mes textes (Nouvelles, contes, poèmes) est publié : sur Internet (blogs littéraires et communautés plus ou moins ouvertes de gens de lettres) ou dans des ouvrages collectifs publiés  (Voir par exemple : Dans nos villages, éditions Mairie de Chalabre ou recueil des Primés des Concours littéraires Astier-Cestion de la Ville de Montélimar, notamment ces 5 ou 6 dernières années .
Pour la première fois en revanche, est publié, à mon seul nom, un recueil de quelques uns de mes textes récents ou plus anciens. »

Serge de la Torre





un extrait 
 (…) Sans avoir rien su de leur arrivée, nous étions ce soir- là, à mi- pente de Grandmont, à nous griller les doigts, aux chaudes pommes de terre que nous nous lancions hilares ; quand soudain sa silhouette apparut au sortir du bois. Une apparition ! Je vous dis ! Une divine vision !Nous étions assis, heureusement ! La Sainte Vierge de la chapelle du carrefour en robe de nylon ! Si bien faite ! Vraiment ! Je vous assure.
Le Petit en lâcha, tout soudain, la pomme de terre qu’il avait encore à la main, et sa mâchoire, aussi : les deux, ensemble, en fait.  Je ne devais pas valoir mieux.
C’en était fini de notre désinvolture ! La dernière bouchée, celle que nous avions en bouche, nous eûmes bien du mal à l’avaler.
Nous avions déjà vu quelques femmes, des habillées et des bien nues. Mais elle ! Elle, c’était une fille de notre âge, et elle était là dans la maigre lumière de notre pauvre feu mourant.




mercredi 13 janvier 2016

Les grands espaces











Toucher des yeux

les grands espaces

et devenir oiseau

libre et grisé de vent

                                             Adamante












Tous mes textes sont protégés SACEM et ne sont pas libres de droits