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lundi 23 mars 2020

Pour la P. 161 et plus...




Bonjour les Brins,

C'est le printemps, et le printemps ignore les virus, il compose avec dans le grand ballet de la vie peuplé de virus et de bactéries (nous en sommes constitués). 
Le printemps c'est le bois, l'envie de grandir vers le soleil, de pousser, de croître, d'ascendre.

Alors j'espère que vous gardez le moral, et que non seulement vous le garderez mais qu'en plus, profitant de l'énergie du printemps, vous le verrez grandir, car rien ne doit entamer notre foi en la vie.
J'en ai l'intime conviction depuis de nombreuses années :


" Ce qu'il y a de plus beau dans la vie, c'est la vie ! "

Comment pourrais-je expliquer ces propos ?

D'aucune façon et c'est très bien, d'ailleurs est-il toujours nécessaire d'expliquer ? Comment expliquer la joie que procure un rayon de soleil, un sourire croisé au hasard, la caresse du vent sur la peau, le parfum d'une fleur ?

Tout cela se vit, tout cela se déguste, tout cela émerveille nos sens, nous dilate. Il n'est besoin que de le vivre.

La meilleure explication n'est-elle pas celle que l'on reçoit dans le cœur ?

Sans mot, elle vibre, rayonne, nous amène à comprendre, à nous centrer, à nous apaiser, à vivre.

Alors, je le redis et vous l'offre comme on offre un bouquet de fleurs à quelqu'un que l'on aime :

" Ce qu'il y a de plus beau dans la vie, c'est la vie ! "



Pour vendredi prochain 
un voyage dans l'imaginaire 
que je vous adresserai par e-mail.



Ce qui est formidable avec un voyage dans l'imaginaire c'est que notre cerveau ne fait pas la différence avec un voyage vécu physiquement. - J'aurais pu écrire "réellement" mais il me faudrait développer ce que sont le réel et l'illusoire. Je vous en laisse le soin. -

C'est là aussi tout l'intérêt de la lecture, avec la lecture qui n'est autre qu'un voyage dans le réel ou l'imaginaire d'un autre,  ou le combiné des deux, nous engrangeons, grâce à notre imaginaire, ses expériences, nous nous en nourrissons pour faire pousser notre propre vie. 

C'est sans doute grâce à cela que la lecture fait partie de la culture. En lisant, en voyageant dans cet imaginaire, nous plantons notre jardin intérieur, nous engrangeons des richesses dont nous n'avons pas toujours conscience. 
La grande bibliothèque de l'Univers, c'est le savoir accumulé par tous les esprits venus sur Terre pour en faire l'expérience. Quelle richesse !

Alors profitons-en à cœur perdu !



Si vous ne recevez pas l'e-mail, ou si vous n'êtes pas sur la liste et que vous désirez participer, demandez-le moi à l'adresse suivante :


herbierdepoesies@free.fr


J'aurais bien aimé guider ce voyage via un enregistrement, mais j'ai trois mains gauches, je n'ai pas trouvé comment placer ici le moindre son sans image.

Si quelqu'un sait... je prends avec plaisir.



In fine

Bien entendu, au retour de ce voyage, vous le relaterez en haïbun, c'est ce qui semble-t-il ce qui convient le mieux,  pour la page 161 de l'herbier de vendredi prochain.

Et si ce que je vous propose vous est impossible, dîtes-le moi, je vous enverrai une image pour participer. Un jardin sans doute.

Alors, on joue le jeu ?





5 commentaires:

  1. j'attends donc la suite du voyage imaginaire pour prendre le train ou l'avion ou ... mystère ...
    pour ce qui est du son sans image moi non plus je ne sais pas faire et moi aussi j'aimerais savoir

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  2. Bien reçu ce mail, j'attends le suivant donc… moui avec illustration, j'avoue préférer, comme support à l'écriture ici… merci, JB

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  3. On joue le jeu en attendant de recevoir ton courriel, je voyage déjà... Bonne journée et bon voyage...

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  4. Ah ah ah! Où c’est que elle était cachée cette fichue connexion ?

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  5. Extrait .
    Voilà voilà je suis prête ! Oui, de bon matin et de bon pied ! Si tu me parles de jeu , et provoques mon point d’interrogation central, tu es en plein sur la corde sensible, Adamante ! Au signal du prochain i-mel, je fonce, en bon bélier que je suis . Je sens Jill Bill qui frétille aussi .... et pour la vitesse, je la sens imbattable !!! : -)
    Françoise
    N.B. Je fulmine ! Je croyais avoir définitivement trouver le truc pour laisser un commentaire, ben non, .... Cocorico trop tôt ! Encore un mauvais tour de ma mémoire qui a toujours quelques trous que je ne prévoie pas . Tant pis, le cœur y est ... même si les mots fuitent .....
    À bientôt tous les brins

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Merci de vos commentaires, ici et sur nos blogs respectifs. Adamante