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dimanche 24 septembre 2017

Pour la page 87, une œuvre de MarHak







Toujours la couleur, le rêve. Merci MarHack


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11 commentaires:

  1. Merci à vous deux... rêvons ensemble ! JB

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  2. Oh la la, mais ça devient exigeant par ici ! C'est vrai que gérer une Communauté de pépés et mémés poètes, c'est des fois pire qu'une cour de maternelle !
    A vendredi, p'te ben que oui, peut'ete ben que non .... ch'sais pas encore.

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    1. Un peu que c'est exigeant! C'est comme vouloir canaliser un feu d'artifice, faut d'la précision d'horlogerie !😁

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  3. Il est sanguin, elle est solaire
    Mais est-ce une raison pour ne pas se plaire ?
    Pour ne pas s'aimer ?
    Le peintre a tranché, il a dit "non".

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    1. J'ai bien envie de rajouter tes mots à la page.
      Merci, Quichottine.

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    2. Un sourire pour toi.
      Merci, Adamante.

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  4. Regrettant de ne pas être des vôtres actuellement, je reprendrais l'herbier dés que possible, cela ne saurait tarder...

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  5. Coucou Adamante
    Je suis ravie de te retrouver et découvre la peinture de MarHak qui m'a inspiré ce texte depuis une demi-heure en espérant qu'il ne soit pas trop tard ! Je t'en remercie :

    LA CHOSE

    Une panique soudaine du troupeau l'avait laissé seul, loin de sa mère, au beau milieu du ventre chaud des lendemains... Il erra dans la nuit noire, l'âme en peine.
    Ses cris creusaient le silence effrayant, traçant une quête sonore dans l'infini.
    Tout demeurait en attente... La nuit l'écouta puis l'oublia. La vie se terra au fond de lui jusqu'au petit matin.
    Dans la transparence cristalline de l'air, la lumière irradia peu à peu les êtres et les choses...
    Les loups enragés l'avaient épargné et la peur desserra son étau.
    C'était un petit mouton noir à peine sorti du ventre de sa mère !
    Qu'ils étaient beaux les rêves d'hier ! Cheminant auprès de sa mère, tout baigné de lumière, enivré et joyeux, il possédait la terre sans y songer.
    Dans ce monde sans boussole, où s'égouttaient encore des voiles de brume au-dessus des flaques d'eau, vacillait l'espoir.
    Soudain surgit d'une flaque une forme immense enveloppée de bleu où rutilaient l'or et le rouge...
    Une Chose à la crinière illuminée de lumière d'où émergeait une tête à cornes, se dressait devant lui, semblant prendre d'assaut l'Horizon...
    Des frissons d'épouvante figea le petit mouton noir sur place. Il lutta pied à pied contre les forces mauvaises qui habitaient sa tête...
    Une main levée semblait prête à s'abattre sur lui... Déjà son âme pulsait, tourbillonnait, voulant s'enfuir de la prison de son corps...
    Il sentait la vie le quitter !

    "N'aie pas peur, petit", tonna une voix mâle, "Je suis ton père et je viens te chercher"....

    Luciole
    http://le-petit-monde-de-luciole.eklablog.fr

    Merci Adamante et Bonne soirée

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    1. rhooo : figèrent et non figea ! Pardon ! pas assez relu ....

      Bonne journée à tous et toutes
      Merci de la publication à la dernière minute, Adamante !

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    2. C'est corrigé, je n'ai pas fait attention moi non plus.

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  6. Merci, Luciole, d'avoir retrouvé le livre de l'herbier et de participer. À très bientôt j'espère, pour un nouveau partage.

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Merci de vos commentaires, ici et sur nos blogs respectifs. Adamante