Le Petit Prince fait toujours rêver.
Voici les derniers écrits autour du beau dessin de Bernard. Merci de vos participations et bon voyage dans cette belle page.
Je rappelle aujourd’hui que l’Herbier accueille les textes du haïku à la prose poétique, à la poésie de l’instant se disant en un minimum de mots possible. Pas toujours facile n’est-ce pas ?
Avec un temps de retard :
Je suis passée chez Françoise, notre Vieille Marmotte et je suis revenue avec Barbara Hendrix.
Se perdre en regardant l'image en écoutant et ne plus rien trouver à dire.
J'ai faim...
J'ai faim !
Herbe et flaque
Fleur de beurre
Bon pour une vache...
J'ai faim !
Moi le voleur de
poule
Une faim d'loup
Entends-tu
bonhomme...
J'ai faim !
Dans ce presque
désert
A contempler
La poésie d'une
oasis...
J'ai faim !
Sois bon prince
Somme Antoine
De revenir nous
chercher...
J'ai faim !
Camarade
Me dessiner un mouton
Ne l'apaise plus...
J'ai faim !
Ah si seulement tu le
lisais
Dans mon regard
Mon p'tit Léon...
En vert et jaune
Sous ciel bleu
J’ai rêvé
L’amitié apprivoisée
Je l’ai dessinée
Paisible
Sous le regard
Des fragiles roses
Aux pétales tendresse
Parasols d’épines
Le renard était roux
L’enfant blond
Au cœur poésie
Entre désir et naïveté
Jonglant avec sa vie
En lumière d’étoile
Je le vois
Chaque nuit
Au vent de son écharpe
Saluer mon dessin
De son rire cristal
Il a vu les abeilles
Affairées,
laborieuses
Dans le pré aux
marguerites
Parlé aux herbes
folles
Aux fleurs couleur
d'émail
Aux papillons radieux
À la rousserolle
verderolle
Espéré un ami
Il sait qu'avec son
cœur
Tout doit être
possible
Il veut le croire
De toutes ses forces
Près de lui, dans son
ombre
Veille un petit
renard
Poète et philosophe
Tout un monde sans
peur
Sans noirceur, sans
rancoeur
Un monde juste et
joyeux
Où la plus petite
fourmi
A toute sa place
Laine de mouton, bulles de savon
Il souffle un vent stellaire et
l’écharpe du garçon, laine de mouton, cherche à s’envoler vers les éclats
d’encre du ciel où s’écrit son histoire.
J’observe derrière eux. Dans
leurs pupilles invisibles, je devine des lumières, des reflets de rêves, de mon
rêve, du rêve du Grand Rêveur qui joue à nous guider sur son gigantesque
échiquier galactique. Est-ce pour nous enseigner la différence et le bonheur de
l’accueil ? Est-ce pour nous
faire toucher du cœur les vertus du silence qui sait et nous dit tout ?
Mais comme il est difficile d’apprivoiser le silence.
Les paroles du renard, bulles de
savon, éclatent dans l’infini de nos questionnements. L’histoire semble-t-il se
raconte bien au-delà des mots.
Laine de mouton, bulles de savon…
Il souffle un vent stellaire et l’écharpe du garçon s’envole vers la voie
lactée.
Face à la prairie
Guettant le dernier rayon
Ils communient dans le silence
Tout en partageant les fleurs et
les peurs
Dans le ciel obscurci
Les étoiles éveillent les pensées
Dans l’attente d’un souffle
matinal
Apparaît l’utopie d’un univers de
paix
Au-delà des turbulences et de la
raison
L’émerveillement toujours renouvelé
Devant le miracle quotidien
Une salutation au soleil
A chaque jour qui renaît
S'il te plait Robot,
Dessine-moi un éléphant !
L'avatar tourna la tête pour observer ce drôle de
fennec survivant du désert.
Comment le pourrais-je ?
Alors dessine-moi une fleur !
L'avatar puisa loin dans ses neurones-miroir. Il y
vit Alice courant en capuchon rouge après un lapin moqueur, un petit pot
d'aiguilles de montre à la main et Maître Renart devisant avec Maître Leu
Ysengrin comme deux vieux potes qu'ils avaient toujours été en dépit des
apparences.
Ta fleur, tu la veux avec des épines ?
Je la veux juste fleurissant le désert
Après la pluie.
Pour
aimer ?
• Suffit-il d’être assis
ensemble, pour aimer ?
Suffit-il donc de regarder ensemble vers une commune étoile ?
• Ah ! les amitiés,
tu sais ….
Il en est, nées
en pleine batailles
Autour d’un
robinet partagé :
D’une tranchée
d’un camp,
Vers celle de
l’armée ennemie.
• N’éclosent-elles pas,
alors, peut-être,
Du seul fait d’être ensemble ?
• Non, plutôt de regarder
au loin
Et de vouloir
l’autre plus proche.
On tombe en
amitié, comme on tombe en amour.
Touchés, simplement,
Atteint au
champ d’honneur.
Un cœur,
soudain, parle simplement,
Dans le silence
de qui l’écoute.
Et ce cœur dit
que sans l’autre,
Il n’est
décidément plus tout à fait entier.
Et l’autre,
répond d’un silence,
Et comprend,
déjà, avant de rien dire :
Que l’Autre est
unique,
Que l’Autre lui
est ouvert.
Qu’il
est :
Une porte où
recevoir un petit bout du monde,
Où partager un
bout d’univers,
Où peut-être,
simplement, mais si fort,
De goûter,
ensemble, au fait d’être …
• Et
puis même d’un jour oser mourir.
- Bonjour, dit la solitude.
- Bonjour, répondis-je poliment en me retournant.
Je ne vis rien.
- Je suis là, dit la voix, derrière les grains de sable
jaunes verts ou bleus .
- Qui es-tu ? Tu es bien jolie...
- Je suis la solitude.
- Viens jouer avec moi, lui proposais-je. Je suis tellement
triste...
- Je ne peux pas jouer avec toi. Je ne suis pas apprivoisée.
- Ah! Pardon, dis-je.
Mais, après réflexion, j’ajoutais : · Qu'est-ce que signifie
" apprivoiser " ?
· Tu n'es pas d'ici, dit la Solitude, que cherches-tu?
· Je cherche de l’humanité. Qu'est ce que signifie "
apprivoiser " ?
- L’humanité, dit le renard, elle a des fusils et aime faire
la guerre. C'est bien gênant! Elle entasse des avoirs. C'est son seul intérêt.
Tu cherches des avoirs?
- Non, dis-je. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie
" apprivoiser " ?
- C'est une chose trop oubliée, dit Solitude. Ça signifie " créer des
liens... "
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit la solitude. Tu n'es encore pour moi, qu'une personne semblable à cent mille personnes. Et je
n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour
toi qu'une solitude semblable à cent mille solitudes. Mais, si tu
m'apprivoises, nous aurons besoin l'une de l'autre. Tu seras pour moi unique au
monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dis-je. J'ai un ami... je crois
qu'il m'a apprivoisée...
- C'est possible, dit la solitude. On voit sur la Terre
toutes sortes de choses...
- Oh! Ce n'est pas sur la Terre.
La solitude parut très intriguée :
- Sur une autre planète ?
- Oui.
- Il y a des guerriers, sur cette planète-là ?
- Non.
- Ça, c'est intéressant! Et des avoirs ?
- Non.
- C’est parfait, soupira la solitude.
- Ce n’est pas Parfait, c’est Rêve.
Mais la solitude revint à son idée :
- Ma vie est monotone. Je cherche des bienheureux, et les hommes me chassent. Tous les hommes se ressemblent et me
fuient. Ils ont peur de moi. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu
m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui
sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre.
Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu
vois, là-bas, ces grandes étendues de sable blondes comme les blés? Je ne mange
pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent
rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera
merveilleux quand tu m'auras apprivoisée ! Les dunes de sable qui sont dorées comme les blés me feront
souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le sable doré comme les
blés...
Solitude se tut et me regarda longtemps
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-elle.
- Je veux bien mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des
amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit la
solitude. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des
choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de
marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu aimes l’amitié, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire ?
- Il faut être très patient, répondit la solitude. Tu
t'assiéras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai
du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus.
Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain je revins.
· Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit la
solitude. Si tu viens, par exemple, entre chien et loup, dès la fin d’après
midi je commencerai d'être heureuse. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai
heureuse. À quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai
le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à
quelle heure m'habiller le coeur... Il faut des rituels
- Qu'est-ce qu'un rituel ?
- C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit la solitude.
C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des
autres heures. Les rituels nous font apprécier les heures qu’on croyait difficiles.
C’est ainsi que j’ai doucement apprivoisé la solitude.
- Quand tu vas partir voir tes amis, je vais être triste dit
la solitude.
- Tu vas pleurer!
· Peut-être, dit la solitude.
· Alors, tu n'y gagnes rien !
· J'y gagne, dit la solitude à cause de la couleur du blé.
Puis elle ajouta : - Va revoir tes amis. Tu comprendras que celui que tu as soigné et à qui tu as tenu
compagnie est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai
cadeau d'un secret.
Je m’en fus revoir ceux que je croyais être amis.
- Vous n'êtes pas du tout semblables à Mon ami, vous n'êtes
rien encore. Personne ne vous a apprivoisés et vous n'avez apprivoisé personne.
Vous êtes comme était ma solitude. Maintenant que j'en ai fait mon amie, elle est unique au monde.
Mes faux amis furent gênés.
Et je revins vers Ma solitude
- Adieu...
- Au revoir, dit la solitude. Voici mon secret. Il est très
simple: on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les
yeux.
- Je répétais :
l'essentiel est invisible pour les yeux, afin de m’en souvenir.
- C'est le temps que tu as perdu pour me comprendre qui fait
que tu m’aimes
- C'est le temps que j'ai perdu pour te comprendre qui fait
que je t’aime, je vais m’en
souvenir.
- Les hommes ont oublié cette vérité, dit la solitude. Mais
tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as
apprivoisé. Tu seras responsable de ta solitude.
- Je suis responsable de ma solitude... je le répétais afin de toujours m’en souvenir.
PS: Je me suis fortement inspirée du Petit Prince de Saint
Exupéry pour vous parler de la solitude qui pourrait être notre alliée, notre
amie si tout au long de notre vie nous savions l'apprivoiser.
jamadrou
De nouveaux poèmes viennent se rajouter à la page et c'est un bonheur que de les publier à la suite
Le petit dernier à suivre
De nouveaux poèmes viennent se rajouter à la page et c'est un bonheur que de les publier à la suite
Avis aux amateurs désireux de continuer la page !
"Dans les éclaboussures du jour, ils étaient assis et comptaient les couleurs du temps.
La musique du vent, elle, leur contait la belle histoire d'une amitié.
Le petit animal roux avait enfin apprivoisé le petit homme."
jamadrou
Face à l'Univers
un Renard et un petit Prince
rêvent l'Humanité
Le petit dernier à suivre
<< - Et si nous jouions à Kesquetuvoitoi ?- Ouiiiii répondit le renard, et c'est moi qui commence- si tu veux, répondit son ami conciliant
........................................................................................
Et je me suis retrouvée en panne devant le désert de ma feuille blanche !Pardon les amis, si je vous fais faux bond, faut bien que j'apprivoise ..... mon quotidien !Quotidien n'est pas toujours commode. Il fait parfois des bonds auxquels je ne m'attends point. Parfois s'en va se prélassant, parfois courant, se précipitant, et pour quoi je vous prie ? Quotidien s'est pris pour le Petit Prince aujourd'hui. Il s'est assis, sans rien faire, en silence, juste concentré sur les bienfaits que lui procurait la queue de Renard lui caressant le dos.
Françoise
Bravo encore ce jour... ,-) Eh oui s'exprimer en peu de mots tout comme le haïku par exemple, tout un art que j'ai commencé à apprécier grâce à toi Adamante.... ,-) Ici j'y pense moins, à faire en haïku, je suis plus.... bavarde ! Bises
RépondreSupprimerBavarde un peu, c'est bien, le haïku n'est pas une obligation. Belle nuit, JB.
SupprimerC'est un vrai plaisir ce matin de se retrouver dans le livre de Saint Exupéry et, très respectueusement y donner une petite suite...
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Adamante, tu es notre chef d'orchestre, notre guide, il ne fallait pas accepter mon histoire et moi j'aurais accepter ta "sentence" pour avoir encore le bonheur de rester dans cette communauté où les mots sont porteur de tant de beauté !
RépondreSupprimerJe suis confuse. Comme Jill qui ce matin sur mon site me pardonne, je vous prie tous de m'excuser.
Voici mon autre texte:
"Dans les éclaboussures du jour, ils étaient assis et comptaient les couleurs du temps.
La musique du vent, elle, leur contait la belle histoire d'une amitié.
Le petit animal roux avait enfin apprivoisé le petit homme."
jama.e-monsite.com
Chef d'orchestre mais pas juge, ni pour la longueur ni pour la qualité, à peine parfois une correction d'orthographe (quand je la vois).
SupprimerL'herbier c'est une proposition de partage autour du meilleur de nous-mêmes pour conserver le plaisir d'écrire, l'envie de progresser et surtout le respect de l'autre.
Alors, ne t'inquiète pas, tu vois, ton texte a parfaitement trouvé sa place, je n'avais aucune envie de le supprimer ni de t'en demander un nouveau. Je n'ai jamais refusé non plus de poésie versifiée, même si elles n'ont pas leur place ici. Je fais parfois un rappel.
Alors ne t'excuse pas, tu n'as aucune raison. Et tu vois, je rajoute celui-ci ;-) et voilà que de un tu passes à deux (comment écrit-àn fou rire en tabulation ?).
Merci, Jamadrou, de tes participations en écrits et en images (je n'oublie pas de venir t'en emprunter, mais là pour une fois, j'en ai d'avance).
Passe une excellente journée et merci encore de tes participations, je crois que tous nous pouvons te le dire.
Bien dit !!!
SupprimerAh ben alors Jamadrou, manquerez plus que ça que tu nous prives de cette Page du Petit Prince revisitée ! Trop belle ! ..... même pas y songer une minute pfffff !!!!!
SupprimerEncore un petit mot pour éclairer les précédents, je peux te citer "le langage est source de malentendu". C'est vrai. Il n'est pas évident de le maîtriser, surtout s'il passe par l'écriture. Ainsi mon rappel des règles de l'Herbier qui ne se voulait pas exclusif.
SupprimerTon texte mérite que l'on s'y arrête, il demande du temps et de l'attention. C'est un texte de conteur, il nécessite aussi d'être "apprivoisé" pour en goûter toute les nuances. Je sais que je le relirai encore.
Et enfin, si toi tu as pensé qu'il avait sa place chez nous, il l'avait. Ça ne se discute même pas, la preuve!
Fais un heureux jour.
A et VM vous me faites des chatouilles et moi j'aime ça! :-)))))
SupprimerCette page est magnifique.
RépondreSupprimerBien sûr, j'ai préféré certains textes, mais tous sont beaux.
Bravo !
Merci, Quichottine, je trouve aussi que c'est une belle page. Et un texte va se rajouter.
SupprimerFace à l'Univers
RépondreSupprimerun Renard et un petit Prince
rêve l'Humanité
Je vais rajoute à la page, avec un grand plaisir. Merci, Josette.
Supprimerune belle gerbe diverse et complémentaire. Je m'étonnais de l'absence de proposition musicale de la part de vieille marmotte mais je viens de son blog via la page de l'Herbier de poésie sur google et j'ai la réponse en dégustant à l'oreille la voix de Barbara Hendrix
RépondreSupprimerTu as raison, la musique nous manque, j'aimais bien cette idée d'une musique pour une page. Je vais aller visiter les blogs (je suis toujours en retard) et écouter. Merci, Jeanne, belle journée à toi.
SupprimerEt alors, et ta boîte aux e-mail(s?) elle m'a joué un vilain tour ? ohohoh ! Pardon, je m'amuse ! mais tu sais décrypter un humour de VM. je sais !hihihi ! Comment font les Jeunes avec le clavier . deux points fermer la parenthèse, une fois, deux fois, trois fois ... ? - :))) ? c'est plus commode les smileys ! mais blospot, ob, connaissent pas !
SupprimerPour le coup, c'est moi qui suis en retard !
Tu m'en diras tant ! :-))))))))))))))))))))))))
SupprimerAllez vite VM! toutefois tu ne rattraperas jamais le temps perdu ;-)
m'en moque ! ;-))
Supprimer<< C'est le temps que j'ai perdu pour .... qui fait l'Herbier si important à mes yeux ! Et toc !
SupprimerAlors là tu imagines le smiley. Deux grands yeux ravis, une bouche qui sourit (en très grand, d'accord ?) les bras levés (pourquoi se l'interdire ?) les poings fermés (comme les supporters de foot (c'est-dire !). Et tout ça, ça saute en riant.
RépondreSupprimerVoilà. Là je n'ai pas encore fait le tour des brins, et je dois partir ! Soupir !
Revisiter le Petit Prince sous le regard, ou la plume des autres, un petit régal à ne pas manquer... Merci à tous !
RépondreSupprimer(chez moi, lundi)
Oui, un petit régal. Je passerai chez toi lundi. Bon dimanche.
SupprimerBravo, Adamante, Bernard Munier et tous, d'avoir fait de cette page un enchantement. Bises à tous et merci.
RépondreSupprimerMerci, Lénaïg, cela fait plaisir de te lire ici. Belle soirée.
SupprimerJe ne pensais pas que mon petit dessin inspirerait autant de poètes.
RépondreSupprimerEh oui, il a su toucher, j'ai même rajouté une musique qui va magnifiquement avec lui, une idée de :
RépondreSupprimerhttps://www.blogger.com/profile/02500929543481564228
merci pour le partage, Bernard.
J'espère qu'il fera aussi rêver les malades de l'hôpital où je l'ai donné.
RépondreSupprimerBonjour Adamante,
RépondreSupprimerC'est fou toutes les belles choses que ce dessin a inspiré. je suis sous le charme de tous ces mots.
Sourire et émotion.
Merci à toutes et tous
Bonne semaine
;)
Adamante
RépondreSupprimerPour fêter, à ma façon, les 70 ans du Petit Prince, j'ai modifié mon texte présenté ci dessus et j'ai créé un petit livret avec quelques photos personnelles et des photos du film de Mark Osborne.
On peut voir tout ça ici: http://jama.e-monsite.com/pages/mes-pages-de-decembre/7o-ans.html
Bonne journée
Apparemment ce lien ne fonctionne pas
Supprimeressayez celui là, peut-être que ça fonctionnera?: http://www.blurb.fr/b/7614053-r-veries
merci