Je suis impardonnable. Alors, une page spéciale, ici, je publie...
Désolée, Françoise, tu vois à quel point je suis faillible.
AD
Il
plut des larmes de roses arc-en-ciel
............
Quatre
akènes virevoltaient. Trois poules caquetaient. Une grenouille plongeait.
Les
synapses synapsaient.
Et
toute la terre craquelée reprenait vie.
Tout est dit, je crois. Un bouquet d'espoirs. Merci pour ce beau texte, Françoise.
RépondreSupprimerTu sais, il n'y a pas de hasard (enfin, je n'y crois pas).
La vie est belle au souffle du printemps...
RépondreSupprimerOh ! ... voit-on les couleurs ? je suis toute rosissante !
RépondreSupprimerIl n'y a pas de hasard : une réflexion attribuée à Voltaire je crois - ? Je la partage aussi. Essayant de tirer les leçons des contretemps . Merci Adamante, Merci à toi et Merci à tous les poètes de l'Herbier, confirmés ou pas !
Merci pour ce beau souffle de Françoise sur les akènes !
RépondreSupprimerJ'aime énormément... ça aurait été dommage de ne pas l'ajouter.
RépondreSupprimerMerci, Adamante, et merci à Françoise.
Passe une douce soirée.