Claude Monet - la gare St Lazare - 1887
Comme d'habitude, haïku ou prose, aucun effet de style, toujours plus de simplicité.
Je vous confirmerai la réception de vos textes, alertez-moi si vous ne recevez rien.
Belle fin de semaine et à très vite. Encore merci de votre présence ici. AD
Bonsoir Adamante, je passais par ici au hasard, ah ok, merci pour l'Herbier suivant... bien à toi, jill
RépondreSupprimerFaisons cracher les escarbilles ! Belle nuit, JB
SupprimerOUPS !Coquille sur la date du Tableau, non ?
RépondreSupprimerQue oui, 1887, je corrige.
SupprimerLa séparation...
RépondreSupprimerA force de zigzaguer
Gare
Notre amour dérailla
Enfumé
Dans la mésentente,
Histoire de fesses, de papier monnaie,
Et puis, le train-train,
Tel celui des voyageurs...
Dès lors, l'arrêt s'imposa,
On plia bagage,
Claude à droite
Moi à gauche,
On se perdit de vue
Quand on perdit la même voie,
Ce chemin qui n'était guère de fer
Sur des sables mouvants...
jill bill
http://jill-bill.eklablog.com
Une bonne idée... :)
RépondreSupprimerMerci, Adamante.
Passe une douce journée.
Zut j'accumule les retards et les mels à lire.Je viens juste d'ouvrir le tien. Je me dépêche de solliciter mes neurones.
RépondreSupprimervoilà mon petit brin 64 doublé comme d'habitude en courrier contact :
RépondreSupprimerPartir ! Laisser les soucis dans le trou de a serrure et jeter la clef. Ne pas se retourner, ne pas revenir. Quel sédentaire n'a pas un jour envié les nomades aux semelles de vent. Sans terre et sans attache.
Le train entre en gare
ramenant au quotidien
tous ses voyageurs
©Jeanne Fadosi
http://fadosicontinue.blogspot.fr/search/label/l%27herbier%20de%20po%C3%A9sie
Voilà ma participation:
RépondreSupprimerhttp://www.lauravanel-coytte.com/archive/2017/02/03/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-j-aime-les-gares-5906316.html
Merci et bonne journée
J'ai envoyé hier soir, mais étais-je en retard ou en avance ????
RépondreSupprimerje n'ai pas eu le temps pour ce vendredi je vais m'y "coller" ce soir seulement !
RépondreSupprimerIl est en train de...
RépondreSupprimerSa mémoire n'est plus que petites fumerolles bleues au milieu du flou de sa vie
Fumerolles vagabondes qui veulent prendre congé sans panache
Thérapie du voyage
Il voudrait partir à l'envers de sa vie
Pour se retrouver à un autre endroit
Il voudrait tant oublier pendant quelque temps
Qu'il est en train d'oublier son propre temps
Il est toujours là mais on dit qu'il est absent.
jamadrou © 3 février 2017
jama.e-monsite.com
Alerte postée sur G+ ! Tu n'étais pas à l'arrivée du 00:02 ! Mais je ne suis pas inquiète. Tu me trouveras dans le Hall des Pas perdus, à moins que je ne soye dans l'une des deux cours à admirer les oeuvres d'Arman, ces deux structures, au nom enchanteur. Magnifiques, l'une amoncellement de montres, l'autre amoncellement de valises !
RépondreSupprimerBon, tu as ton portable ? Tu bigophones !! on finira bien par se retrouver.
N° 64
RépondreSupprimerAttention attention
Le train pour Rouen entre en gare
Enfin il était temps
Seul sur le quai
Je suis gelé
J'observe
Cette foule voyageuse
Surchargée de bagages
Où vont-ils ces déserteurs
De la ville
Le serpent d'aluminium
Va les avaler
Les digérer
Dans son estomac
De boa monstrueux
Nourriture inconsciente
Balancée dans la torpeur
Rejetée sur un autre quai
Et le trajet est déjà
L'illusion des vacances
Aujourd'hui partis pour Rouen
Vont-ils revenir avec le sourire
http://lacachetteajosette.blogspot.fr/