Bonjour les brins de l'herbier
Martiros Hakopian -MarHak- (Je lui ai emprunté sa photo) a généreusement accepté de soumettre son œuvre à notre inspiration. Un grand merci à lui.
J'espère qu'elle vous plaira autant qu'elle m'a plus et que, encore une fois, votre inspiration sera au rendez-vous.
Je n'en doute pas, c'est toujours un vrai plaisir de vous lire et de vous retrouver chaque semaine.
Alors, à vos brins et à très bientôt.
Merci à vous deux... y a plus ka !
RépondreSupprimerNuit d'enfer...
RépondreSupprimerIl sombra
Corps et biens
Ce géant anglais
Une nuit d'avril
Remuant l'eau de l'Atlantique
Et le monde entier,
L'océan tel un boa
Avalant sa proie, lentement
Dans une complainte
Crachant son écume,
Bave de mourant...
Des lambeaux à fleur de flots
Flottant ça et là
Au lever du jour,
Vestiges d'un fascinant
Qui avait ses faiblesses...
Plus près de toi mon Dieu
Joua l'orchestre, brave,
Tandis que le titan s'enfonçait
Cette nuit d'enfer...
jill bill
Il regarde l'océan
RépondreSupprimerAiles rabattues
Il est pris dans l'arc en ciel
Il se confond avec les couleurs
Avec le ronflement des vagues
Avec le rugissement du vent
Le soleil lui est nid
Tout son être vibre
Méditation, silence
Chaque seconde est vie
Ce tableau est très beau Adamante
Je t'envoie dés aujourd'hui ma participation, car je serai absente en fin de semaine.
RépondreSupprimerElle grimpe, grimpe, grimpe
La vie qui mène là-bas
Dans les remous des jours
Sur les sentiers colorés.
De surprises en surprises,
Mon esprit s’y frotte,
S’y forge, s’y construit,
Démêlant sans cesse
Obstacles et pièges
Pour atteindre
Le but final
Au sommet du parcours
La tête hors des nuages
ABC
http://jardin-des-mots.eklablog.com/
un paysage bien mouvementé
RépondreSupprimerTempête en Finistère
RépondreSupprimerCourant d'air
Claquent les volets
S'ouvrent la fenêtre
L'eau se répand sur le bureau
Volent les papiers
Coule l'encre bleue
S'étale l'encre noire
Éponger. Papier buvard
Mots effacés
Poésie déchiquetée
Ce n'est pas le bout du monde
Juste la pluie qui est entrée
Pour tant pleurer
Juste le vent qui trop fâché
à tout brisé
Bébé c'est fini, ne pas pleurer...
Ciel et terre
RépondreSupprimerTerre et neige
tous s'écoule
vers la mer
même le sang
<< Te casse pas la tête, nage ! Il fait beau derrière les nuages.>>
RépondreSupprimer<< Bleue, rouge et noire
RépondreSupprimerNoir et blanc, jaune d'or ! >>
Les mots du poète
RépondreSupprimerPromènent leur liberté
Couleurs du Temps
Rimes soyeuses
Aux courbes des nuages
Se laissent porter par l'impromptu
Du vent des fantaisies