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vendredi 24 novembre 2017

Hasard, comme par hasard ? Page 92



August Strindberg, Célestographie XIII, 1893-1894, photogramme, 12 x 9 cm, 
Bibliothèque nationale de Suède, Stockholm


J’ai emprunté à Artips et l’image et quelques informations qui, par « hasard » justement parlaient du hasard et de l’art, juste au moment où, grâce à Jeanne, j’y réfléchissais.
cf.mon image pour la Page 91.

Alors, art, aléas ou hasard ? Vaste question qui donne à réfléchir, à débattre aussi, ce qui avouons-le est parfois bien nécessaire et bien agréable.

Ici il ne s’agit pas d’art abstrait, celui-ci, au moment des faits, (1893-1894) attendra encore une vingtaine d’années pour apparaître. Il s’agit d’une photo, elle est de l’artiste et écrivain suédois August Strindberg, connu entre autre pour ses pièces de théâtre.
Elle représente le ciel nocturne capturé sur une plaque photographique exposée à la lumière des étoiles durant toute une nuit. À cette époque, les supports photographiques n’étaient pas très sensibles à la lumière et nécessitaient un temps de pause très long, surtout la nuit.

Acte pensé donc, acte délibéré, ces expériences intuitives, Strindberg les nommera Célestographies. 

"Avec ses Célestographies Strindberg s’est contenté d’imaginer le processus technique, puis il a laissé la nature faire son œuvre. Selon lui, la nature est elle aussi un peu artiste. Et si Strindberg ne fait pas de l'art abstrait, il est définitivement moderne. Sa manière de créer des œuvres "par hasard" en inspire plus d’un... dont les artistes dada et surréalistes qui se serviront du hasard comme d’une matière première, quelques années plus tard." Artips.


Eh oui, quand la pensée, le regard, la réflexion, l’interprétation s’approprient le « hasard » alors, selon moi, on peut parler d’art. Car si le hasard se passe de l’intervention humaine l’art au contraire en a impérativement besoin. AD


Lina Jonn Lund, Portrait de l'auteur suédois August Strindberg, Bibliothèque nationale de Suède, Stockholm





Émaux
Émotion
Je ne suis que poussière d'étoile
Corpuscule de rien
Flottant dans l'atmosphère
Atmosphère poétique
Psychédélique
Ma vie.

jamadrou © 21 novembre 2017  9h  (A fleur d'image)








Ma feuille reste blanche
Quand le bleu tourbillonne
Sur le marbre du ciel

Ma plume balbutie
Quand les pierres ricochent
Dans les profondeurs abyssales  

Mille tâches d’encre se répandent 
Sur mon esprit rêveur
Drapé d’une échappe d’azur

Chef d’œuvre artistique ou illusion aléatoire
Mon cerveau chevauche sur sa galaxie
A l’épreuve de son imaginaire en berne 

©ABC










Aléatoire la création d’une œuvre d’art
Libre interprétation de chaque personne
Expert ou amateur, l’œuvre échappe
À son créateur et à celui qui la regarde
Travail et plaisir sans cesse s’entremêlent
Œuvre d’art ou image aléatoire
Idée ou réalité, figuratif ou abstrait
Regarder ne suffit-il pas ?
Etre curieux n’est-il pas la clé ?
  
©Laura VANEL-COYTTE
http://www.lauravanel-coytte.com/
Auteure,blogueuse,documentaliste














Laisser s'envoler les idées parasites. Tout doucement fermer les yeux, puis les ouvrir et les laisser peu à peu apprivoiser la nuit. Elle est rarement tout à fait noire.

La voûte étoilée
soulève un coin de son voile
et de l'espace-temps.

Tant de ses poussières
s'offrent à combien de regards
dans le même instant ?

Des poussières, mortes depuis combien de siècles avant que la lumière ne les fasse parvenir dans la banlieue de la terre ? 

Observer le ciel.
Extase de l'immensité !

Et nos vies,
nos vies minuscules.

©Jeanne Fadosi


en support à mes idées vagabondes, les clichés d'un atlas qui présente aussi des cartes du ciel et des étoiles, un livre des photos du spationaute Thomas Pesquet et le premier livre de Hubert Reeves que j'ai lu de lui  "Poussières d'étoiles" 







Un œil veille
Le cosmos s'anime
Un ange passe
Doré dans le bleu nuit profond
Une myriade d'étoiles
Occupe l'espace
C'est la voie de ceux qui rien n'arrête
Qui n'ont plus ce fil qui les lie
Fil d'amour, fil de grâce
Je l'emprunte
Je suis ce regard
Je vais peut-être
Retrouver le chemin
Perdu
Pour accepter de rejoindre
Notre planète flottante
Dérisoire
Méprisante
Avare
Peuplée de ces cœurs fermés
Qui n'ont plus rien à donner ...



© marine Dussarrat






 



Le fils maudit...

Bon sang de bon sang mais qu'est-ce t'as mis dans son sang la mère
pour en faire, enfer, un criminel de série !
Bon sang de bon sang, misère de misère, juste bon pour l'enclos des morts, à brouter pissenlits par la racine, après bouillon d'onze heures comme l'écrivait un jour je sais plus qui...
Bon sang de bonsoir et adieu pas d'au revoir !
Tu te rends compte la mère, un monstre organizé, de la plus belle espèce, récidivist', un pulsionnaire, un spychopatte, un tueur de bonnes femmes, sous notre toit, la tuile, et toi tu n'y as vu que du feu !
Un bon fils, un bon gars, un bon ouvrier, un bon camarade, ouais tu parles, mais mauvais prince, rompait avec comme du pain...
Bon, j'ai pas été très présent au foyer, mais que diable, brûler de cette flamme-là, bon sang de bon sang...
Moi, j'ai plus de fils, j'te l'dis la Marie !!
Bon sang de bon sang mais qu'est-ce t'as mis dans son sang la mère pour en faire, enfer, un criminel de série !
T'as lu la feuille de chou c'matin, non pas celle-là, le journal... et la radio et la télé qui en font leurs choux gras, aussi !
Bon sang de bonsoir, qu'est-ce que t'as fait au bon dieu pour donner le jour à un rejeton pareil, bonjour l'échafaudage !
Tu vas d'main à la prison lui apporter des zoranges et des cal'çons, ô bonne mère, mets zy une bible qu'il se repente de sa mauvaise pente !
Sans moi, j'irai au bistrot m'saouler, pour oublier, et qu'on m'tape dans l'dos en disant mon pôf vieux va...
Et toi la soeur, fais-toi bonne sur le champ, comme un sacrifice au bon dieu, et que l'curé pardonne ta mère, bon sang de bon sang !
Et cesse de braire, deux ânesses à la maison ça va m'faire tourner en bourrique, misère de misère...


©jill bill









Œuvre d'art et galaxie


Où se cache l’art ?
Dans l’œuvre ? Ou l’effet produit? 

La création avait des allures d’amibes dans un bouillon de culture un peu sombre
Elle évoquait de lointains infinis célestes :  des corps stellaires non répertoriés.
Elle offrait à voir d’explosives marbrures, des ombres de cuivres, rongées par l’acide.
Révélait ailleurs des projections aléatoires d’ocres liquides sur fond bleu nuit ou noir.
Et encore des radiances d’amas célestes en explosions libératrices.
Des aplats vaporeux de bleus transparents cernaient de lumières irréelles ces astres incertains. 

Dans la réalisation ou bien l’effet produit ?
Où se cache donc l’art ?

©Serge De La Torre







L'univers s'écrit
au cœur du minéral
- Cristallisation

Josette 









Poussière de silence

Poussière de silence
Vibration des sphères
Quelque part dans la nuit
La vie se pense

Regard vers les étoiles
Perdue d’immensité
La Terre-mère observe
La vie exsangue

Poussière de silence
Le hasard se construit
En formes et couleurs
Ciel grand offert

Poussière de silence
Les mots sont indurés
Dans les pierres immobiles
Le cœur bien lourd

Poussière de silence
En moi
Plus rien
Le vide
Illuminé

©Adamante Donsimoni










mardi 21 novembre 2017

pour la page 92





Pour vendredi prochain, une image, aléatoire ou œuvre d'art ? 
Réponse vendredi. 
Vous saurez tout sur sa conception et son auteur. 
Précision : elle n'est pas de moi.

Bonne inspiration.


vendredi 17 novembre 2017

Page 91, paroles d'écorce







Autrefois...

On a marché sur la Lune,
on y a cru, puis on a crié à la mise en scène...
On a marché sur Mars, Vénus, Mercure, Jupiter, Saturne,
Uranus, Neptune, ah non, mais les hommes en rêvaient, conquérants insatiables...
On a marché sur la Terre, autrefois, autrefois, autrefois, vidée, sucée jusqu'aux entrailles, il en demeure quoi... de la roche, des flaques d'eau, quelques émeraudes, plus âme qui vive, de l'homme, abuseur notable, ne reste que des restes, paix à ses cendres, lui qui brûla cette planète par les deux bouts...

On a marché sur la Terre, hier, verte comme l'Espérance, bleue comme l'Océan.
On a marché sur la Terre, fantômes s'en souviennent...
On a, tout finit par s'écrire au passé !


jill bill
http://jill-bill.eklablog.com







Là où se heurte mon regard,
se posent mes pas…
Entre bleu et noir
sur les rochers d’une plage déserte
Très lentement
je progresse...
Ici, un crustacé,
là, un quartz scintillant,
la vie du rivage m’interpelle…
Pas un bruit, plus une vague,
le monde marin murmure,
sous la plante de mes pieds…
Tous sens en éveil
je me laisse guider…

Là où se heurte mon regard,
sous mes pas,
une fenêtre s’ouvre
              sur un ailleurs à décrypter…

ABC




Regarder
Regarder sans forcément chercher ce que ça représente, regarder
De tous ses yeux, ouvrir son âme, sans comprendre ni analyser
Ce qu’il a voulu dire, faire, laisser l’artiste simplement nous pénétrer
Union de deux âmes, deux regards, deux corps à reconnecter.






Soudain sur l'écorce un visage apparaît
Petit à petit les traits se précisent
Sa coiffe de plumes ne laisse plus de doute

Fils du Nuage
Il a quitté son temple
Pour nous parler du désert et de la pluie
De l'obsidienne et des sacrifices
En son honneur
Lui le Serpent à Plume


 Josette






 

Je voyais une fissure profonde et sombre où s’infiltrait le néant tel une grande phrase creuse. Malaise indescriptible.

Je voyais la roche poreuse grise et triste, pierre de lave, pierre ponce disait la grand-mère aux mains propres. Attente désemparée.

Et puis j’ai vu le bleu, le bleu lagon disait le père. Surprise étonnée.
J’ai cru alors que l’éruption n’avait pas eu lieu.

Seule au milieu de nulle part je me suis remise à rêver que le volcan n’avait jamais existé.

Jamadrou


Qu'est devenue la vie ?

Sillons dessinés par les larmes amères
taries dans l'ombre des paroles
Un coup une marque en bleu ou en noir
le rêve s'est brisé sur ce chemin de peine
Silence et solitude
Seules les traces diluées osent dire la blessure

Qu'est devenue la vie ?

Balaline




As-tu vu Dame Tortue
As-tu bien entendu
Le cric le croc le crac
Du grillon qui grommelle
En mâchant de la réglisse
J'ai une salade bien verte
Pour la tortue gourmande
Qui circule entre les carottes
Les framboises et les fraises
Tu nous en donneras
On pourra faire la nouba !




Sous la mer se dégagent
Des visages et dans ses ombres
Flottent et se reflètent
Des monstres passifs
Des créatures sans paroles
Liquides et transformistes
Qui regardent vers un ciel de verre
Sans jamais pouvoir y accéder...


Marine D





 











L'eau bleue sur le sable
dessine le visage
d'une antique statue maya

Elle a le profil égyptien
au pays d'autres pyramides
le front bombé
l'œil amusé ou las.

Que dit-elle si fort ?
est-ce son souffle
ou sa colère ?

la mouche en cœur
insolante
sur son nez
l'agace.

Un minuscule papillon blanc
de ses ailes froisse
sa matière grise.

Là siège non seulement les limbes de la raison mais aussi toutes les émotions, le berceau des sentiments, l'origine du vivre ensemble.

©Jeanne Fadosi


 









 J'y ai au premier regard vu ce visage et la sensation d'une réminiscence.

La deuxième ouverture a fait tilt et m'a renvoyé à cette statuette vue au musée du Quai Branly en 2011 lors de l'exposition "Maya de l'aube au crépuscule". Statuette qui d'ailleurs figurait sur l'affiche.








La caverne de Xibalba*
 

À Xibalba, le dieu des Mayas trône dans la caverne, entourés de ses multiples.
Et chacun de murmurer à son immense oreille leurs idées autour de la création.
Mais le moustique, dissimulé dans une anfractuosité de la roche, écoute, mémorise
et voilà qu’il révèle au monde les noms secrets des Dieux.

Mais qui connaît le nom des dieux devient lui-même un dieu.
L’empire fragilisé s’effrite
Un geyser d’émeraudes fuse de ses entrailles,
Les hommes s’en emparent.

Connaissant désormais le grand dessous des choses, ils ne vénèrent plus leurs égaux.

Alors, le Dieu des Mayas,  courroucé se venge, 
il leur voile le regard.

Mais que notre monde se rassure ou s’inquiète,
Nous conservons au fond des yeux l’instant où nous étions des dieux.

Adamante


 *Xibalba le monde d'en dessous chez les Mayas Quichés (Popol Vuh)
Quelques infos supplémentaires :   https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythologie_maya




 

 






vendredi 10 novembre 2017

La page 90


 


Jamadrou


Ça tramait dans sa tête...

Déterminée, minée par la ville et ses ors artificiels, grillagée, Amarande partit, en pèlerine, adieu bâton dans les roues, sans regret, cent sous en poche, un matin, sur la route,
ses chemins de terre, de pierraille, le rose au coeur, légère, libre comme l'animal sauvage...
Envie d'ailleurs, besoin de douces heures.
Tomber en amour un beau jour pour un endroit, en vert, garder des oies, des chèvres, épouser un berger charmant, si bon prince...
Elle fit des rencontres comme dans les contes,
de bonnes et de mauvaises, désintéressées, intéressées...
Elle dormit parfois chez les premiers, fuyant les seconds.
Elle coucha aussi à la belle étoile, dans le froid, comme un chien galeux et de mauvais poil qu'on frappe de la botte, mais gardant au chaud son idéal...

Une terre et son eau vive, de rouges pommiers, un toit en ardoises étain, éteinte sa vie d'hier pour retisser une existence neuve comme l'enfant qui vient de naître, point par point...


jill bill


 

C'est drôle, c'est funny,
un patch work de points de croix.
Bizarre et joyeux.

Comme si chaque carré était ajouté par un brodeur passant l'ouvrage de main en main, à une ou un autre et un ou une autre encore. Sans plan d'ensemble.

Pourtant les couleurs,
pourtant cette mosaïque
créent une harmonie

Résisteront-elles ensemble
au patient désassemblage

de Pénélope remontant les aiguilles du temps dans le silence et la solitude de la nuit. Ce temps inexorable ne ramènera pas Ulysse. Elle sait que les fins heureuses n'existent que dans les légendes.

Pourtant rien ne musèle
ses lèvres et le chant d'espoir
de la nuit des temps

surgissant à chaque fois
qu'il faut se lever aussi*.

©Jeanne Fadosi





 
Ouvrage

Assise au coin de la cheminée
Elle tricotait
Comme invitée
Elle ne parlait pas souvent
Elle était parmi nous
Comme invitée
Une Mamée silencieuse
Au coin de la cheminée
J'entends encore le tic-tac de l'horloge
J'entends encore son silence
Lourd de pensées
Une petite Mamée
Qui tricotait
Je la voudrais encore ici
Posée sur sa petite chaise
Sur le parquet ciré
Pour tendrement lui parler



Marine Dussarrat


 
Héraldisme

Au fil du temps
À petits points
Se tisse la vie
Sur la trame des jours

Tant que le vent souffle
L'esprit vagabonde
Pendant que les doigts écrivent
Automatiquement
Ce que l'on ressent

Côté soleil
Côté obscur
Se mêlent se rencontrent
Jusqu'à devenir un blason

Qui saura le lire
Au fil des temps


 Josette                                                                                                                                http://bricbracdejosette.blogspot.fr/





Cent fois sur le métier remets donc ton ouvrage.
De cousu main, en points inachevés,
Du rêve au réel,
La vie passe.

Françoise, la vieille marmotte

http://www.jukebox.fr/jacques-douai/clip,file-la-laine,vz5su.html








De fils de chaîne en fils de trame

L’étendard de Pénélope, fils de chaîne et fils de trame, marque à petits points des secondes égrainées à rêver. Quand s’ouvrira-t-elle la porte caressée du regard le temps d’une pause?
Rectangles, carrés, étoiles, formes incertaines, couleurs, marquent les pages d’un livre de pensées intimes. Des voix, des odeurs, des gouttes de pluie, des rayons de soleil y sont inscrits, des larmes aussi, des désespoirs, des creux de vagues sans sirène, juste les profondeurs grisâtres de la solitude. Mais de fils de chaîne en fils de trame, de point en point, l’aiguille inscrira un jour d’autres moments. Ceux d’un avenir qui se donne déjà par le souffle du vent qui rend fou et vous fait croire que demain peut-être sera un jour de fête. Quand la porte s’ouvrira car, à n’en pas douter, elle s’ouvrira.

L’étendard flotte et me dévoile au grand jour sa géographie de secrets indéchiffrables. Je le regarde. Je plonge dans les verts, me déleste du gris.  Une porte s’ouvre. Je pénètre des espaces infinis qui sont miens, sans attente.

©Adamante Donsimoni

 

Barbara chantant la Pénélope de Brassens 

ou encore

Charles Trenet, autour de pique et coud






Le monde


La multitude comme réalité,
La diversité comme certitude,
Une immensité comme horizon
Un patchwork comme drapeau.


Obscurs desseins, sources d’inquiétude
Je garderai l’éternité pour perspective.
L’unicité de l’être comme évidence...
Un patchwork comme étendard,

Mon drapeau à la trame de l'histoire et la chaîne des vécus pour ADN,
Il s’alimente de l’amour des hommes,  pour combattre la haine.
De la paix du cœur, pour noyer jusqu’aux racines de la guerre
Le patchwork de l’humain est mon ultime étendard.

Serge De La Torre 
  https://plus.google.com/u/0/+SergeDeLaTorre


 

mardi 7 novembre 2017

90 ème proposition de l'herbier



Bonsoir à tous les brins de l'herbier. 

Je me demandais ce matin quoi proposer à vos écrits pour cette future page,  quand j'ai vu, sur notre page google, une image de Jamadrou.

La voici.

J'attends vos écrits pour la publication de vendredi prochain à l'adresse de l'herbier sur free, suivant les modalités habituelle et votre lien. Merci de vos participations.



Création Jamadrou




Et n'oubliez pas de visiter "le coin des retardataires" -  pour le vent ICI