Bienvenue dans l'Herbier de Poésies. Vers libres, prose poétique, expression libre des profondeurs de l’instant qui se dit sans rime ni métrique imposée. Mais aussi Haïku & famille favorisant le fond plutôt que la forme.
Translate
mercredi 11 janvier 2017
Victor Hugo pour la page 62
Un peu en retard, pour vendredi prochain, je vous propose ce dessin de Victor Hugo (source bnf)
En haïbun (prose brève et haïku), cela vous tente ?
Pour le haïku "Puni de guillotine..., trop de syllabes, 6... Si tu veux le remplacer par juste A LA GUILLOTINE, merci m'dame, sinon tant pis, désolée, bises
tu penses si cela me tente ! en même temps mais plus tard pour ne pas polluer l'inspiration j'aimerai en savoir plus sur ce dessin. J'espère que les mouchoirs sont moins de sortie de ton côté.
Quasiment terminé, j'ai repris le collier depuis samedi. Merci, Jeanne. Je ne saurais trop te dire à quoi il correspond, il m'a plu. Je vais vérifier dans mon bouquin "Victor Hugo visionnaire" si par hasard il y serait et je te tiendrai au courant. Belle fin de journée.
Il revient Il a cheminé si longtemps qu'il en a oublié les bruits du monde Il a suivi le fleuve des jours et des jours Il a traversé des prairies se repérant au soleil La forêt est là
Au pied d'un arbre Enfin il se repose - L'aube murmure
On lui a dit que lorsque le bois s'éclaircirait Il verrait les murailles de la ville Le château et son donjon Un nuage en forme de cheval blanc plane dans le ciel Comme le fantôme de ses amis perdus à la guerre
Plus aucun bruit Est-ce bien une victoire Que ces ruines
Blanchi sous le harnais auréolé d'étoupe arbre fantôme
Il avance sur le chemin qu'il connait bien, l'odeur de terre mouillée et de mousses envahit l'espace, le froid piquant lui lacère la peau, au loin les tours d'un château se profilent derrière la ligne des grands arbres, il soupire, une fois de plus il espère un miracle, revoir son visage, son sourire et entendre le son de sa voix douce...
Le ciel se charge le paysage se couronne d'un gros nuage blanc
mon petit brin de poésie 62 sur le dessin de Totor (excuse ma familiarité grand poète !) : Dans la jungle la plus impénétrable, dans la forêt la plus désolée, se trouve un château de conte de fées, un château oublié où dort depuis des siècles une princesse mendiante, sur tant de rêves et d'utopies perdues.
je sens ta main si menue petite mandigotte me conduire à ta clairière Jeanne Fadosi http://fadosicontinue.blogspot.fr/search/label/l%27herbier%20de%20po%C3%A9sie
je bisse comme d'hab en courrier contact belle journée
Bonjour. VU chez JILL vôtre " défi " j'ai été tentée d'y participer. Mais je ne sais pourquoi, mon écriture ( dite pompeusement écriture automatique) est toujours en vers, donc je n'ai jamais fait d'HAÏBUN. C'est pourtant très intéressant je trouve la prose mélangée au HAÏKU. Et bien je profite de ce passage pour vous souhaiter une bonne année @Paf
panne de courant ou d'internet ? rechute de vilains microbes ? ou juste emploi du temps chargé. J'espère en tous cas que ce n'est pas trop grave et ne t'inquiète pas de ce retard. Belle fin de semaine quoiqu'il en soit
Allez ça me tente... merci Adamante, merci Victor aussi... bonne nuit, jill
RépondreSupprimerLe manoir hanté...
RépondreSupprimerIl était une fois
Un manoir et son escroc
Au milieu de nulle part
Isolé, perdu si tant
Qu'il fit le bonheur de ce diable d'homme...
« Lugubre cadre
pour les oeuvres d'un Landru
Femmes au foyer »
Triste arbres
Triste cieux, triste manoir
Triste tout
Laissés aux fantômes
De ces femmes assassinées...
« Compagnes séduites
les descendre à la campagne
Paix à leurs cendres »
Ce qu'il en désirait Désiré
Ce Barbe Bleue de Gambais
Laid dessein que le sien,
Leur bel argent,
Biens mal acquis ne profitent guère longtemps...
« Puni de guillotine
malgré l'absence de cadavres
Rhum et cigarette »
L'aumônier : « Mon fils, croyez-vous en Dieu ? »
Landru : « Monsieur le curé je vais mourir et vous jouez aux devinettes ! »
jill bill
http://jill-bill.eklablog.com
OK Adamante, j'essaie.
RépondreSupprimerPour le haïku "Puni de guillotine..., trop de syllabes, 6... Si tu veux le remplacer par juste A LA GUILLOTINE, merci m'dame, sinon tant pis, désolée, bises
RépondreSupprimerUne bonne idée... je suis sûre que la page sera belle.
RépondreSupprimerPasse une douce journée.
tu penses si cela me tente ! en même temps mais plus tard pour ne pas polluer l'inspiration j'aimerai en savoir plus sur ce dessin. J'espère que les mouchoirs sont moins de sortie de ton côté.
RépondreSupprimerQuasiment terminé, j'ai repris le collier depuis samedi. Merci, Jeanne.
SupprimerJe ne saurais trop te dire à quoi il correspond, il m'a plu. Je vais vérifier dans mon bouquin "Victor Hugo visionnaire" si par hasard il y serait et je te tiendrai au courant. Belle fin de journée.
Cela m'a tentée :-))
RépondreSupprimerMon texte sera publié sur mon blog lundi 16 janvier.
N° 62
RépondreSupprimerIl revient
Il a cheminé si longtemps qu'il en a oublié les bruits du monde
Il a suivi le fleuve des jours et des jours
Il a traversé des prairies se repérant au soleil
La forêt est là
Au pied d'un arbre
Enfin il se repose
- L'aube murmure
On lui a dit que lorsque le bois s'éclaircirait
Il verrait les murailles de la ville
Le château et son donjon
Un nuage en forme de cheval blanc plane dans le ciel
Comme le fantôme de ses amis perdus à la guerre
Plus aucun bruit
Est-ce bien une victoire
Que ces ruines
http://lacachetteajosette.blogspot.fr/
Je t'envoie ceci Adamante
RépondreSupprimerBlanchi sous le harnais
auréolé d'étoupe
arbre fantôme
Il avance sur le chemin qu'il connait bien, l'odeur de terre mouillée et de mousses envahit l'espace, le froid piquant lui lacère la peau, au loin les tours d'un château se profilent derrière la ligne des grands arbres, il soupire, une fois de plus il espère un miracle, revoir son visage, son sourire et entendre le son de sa voix douce...
Le ciel se charge
le paysage se couronne
d'un gros nuage blanc
mon petit brin de poésie 62 sur le dessin de Totor (excuse ma familiarité grand poète !) :
RépondreSupprimerDans la jungle la plus impénétrable, dans la forêt la plus désolée, se trouve un château de conte de fées, un château oublié où dort depuis des siècles une princesse mendiante, sur tant de rêves et d'utopies perdues.
je sens ta main si menue
petite mandigotte
me conduire à ta clairière
Jeanne Fadosi
http://fadosicontinue.blogspot.fr/search/label/l%27herbier%20de%20po%C3%A9sie
je bisse comme d'hab en courrier contact
belle journée
ADAMANTE
RépondreSupprimerBonjour.
VU chez JILL vôtre " défi "
j'ai été tentée d'y participer.
Mais je ne sais pourquoi, mon écriture ( dite pompeusement écriture automatique) est toujours en vers, donc je n'ai jamais fait d'HAÏBUN.
C'est pourtant très intéressant je trouve la prose mélangée au HAÏKU.
Et bien je profite de ce passage pour vous souhaiter une bonne année
@Paf
Était-ce bien pour cette semaine ????
RépondreSupprimerpanne de courant ou d'internet ? rechute de vilains microbes ? ou juste emploi du temps chargé. J'espère en tous cas que ce n'est pas trop grave et ne t'inquiète pas de ce retard. Belle fin de semaine quoiqu'il en soit
RépondreSupprimer