Bienvenue dans l'Herbier de Poésies. Vers libres, prose poétique, expression libre des profondeurs de l’instant qui se dit sans rime ni métrique imposée. Mais aussi Haïku & famille favorisant le fond plutôt que la forme.
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mercredi 14 novembre 2018
toujours P 124
Jamadrou
Quand l’automne se joue des brumeuses pensées faisant fi de toute amertume il peint son tableau en nuances infinies en rouille et vert en ocre et rouille en rouille et rouge domptant les colères du vent un peu de blanc flocon de rêve une touche bleue fleur de ciel un rayon jaune poudre d’or quelque soit l’humeur du temps l’herbier gorgé de poésie s’écrit au rythme de son élan…
Bravo Jamadrou! belle illustration pour ce poème. Un tableau né d'une absence. Comme quoi! Les alchimistes du Moyen Age disaient que l'Or des Philosophes, le seul qui vaille à leurs yeux, se trouvait dans l'ordure, la paille et la boue du chemin, ou sous les sabots de chevaux. La contrainte rend créatif et dans le pire endroit poussent les plus belles fleurs.
Merci de vos commentaires, ici et sur nos blogs respectifs. De nouveau impossible pour moi de répondre en tant qu'administratrice à vos commentaires, chrome ne veut plus de mon ordinateur (consumérisme de Apple suivi par google !) Adamante
Bravo Jamadrou! belle illustration pour ce poème.
RépondreSupprimerUn tableau né d'une absence.
Comme quoi! Les alchimistes du Moyen Age disaient que l'Or des Philosophes, le seul qui vaille à leurs yeux, se trouvait dans l'ordure, la paille et la boue du chemin, ou sous les sabots de chevaux.
La contrainte rend créatif et dans le pire endroit poussent les plus belles fleurs.